En voiture, on subit la route.
A moto, on vit la route : on ressent ses imperfections, on épouse ses courbes, on glisse en harmonie avec elle. Félix pourrait parler des heures de sa passion. Goûter la chaleur, le froid, le vent, les odeurs, les bruits ; enfin, si on ouvre son casque et qu'on roule assez doucement...