À présent, il voit ce qu’il a essayé de faire : marchander avec son chagrin. Derrière toute cette activité frénétique, il y avait l’espoir que s’il tenait ses promesses, il ne souffrirait plus. Mais il commence à comprendre qu’on ne peut pas négocier avec le chagrin. Il est impossible d’éviter la torture, ni même de la faire aller plus vite. Elle le tient dans ses griffes et ne lâchera pas tant qu’il n’aura pas appris toutes les leçons qu’elle a à lui dispenser.