Nous arrivâmes à Lisbonne, avec Clara et Nicolas, un lundi, jour de la Saint-Antoine, soit au lendemain de la plus grande fête populaire de la ville qu'on avait toujours pas nettoyée, les rues étaient jonchées de verres de plastiques et de bouteilles vides, de carcasses de sardines et de sacs à ordures, un vrai dépotoir. Dommage. C'est la veille qu'il aurait fallu arriver, pour la fête, pas le lendemain quand tout est fermé, quand tout Lisbonne à la gueule de bois.