C'est son quotidien d'avant La Fabrique que raconte Djamil: l'heure où mon père part faire les courses pour le restaurant, l'heure où ma mère se met en cuisine, l'heure où je m'assois à mon bureau, l'heure où je me connecte à Internet pour jouer un peu, l'heure où je regarde un film au lieu de réviser mon brevet ... qu'il a obtenu l'année suivante, sans l'aide de personne, dit-il fièrement.