il faut croire qu'elle gardera toujours imprimée dans sa chair, et de manière indélébile, la terreur des animaux qui eux ne peuvent l'exprimer, le glissement des portes sur leurs rails, celui du fouet au-dessus de leurs têtes apeurées, cette brutalité et cette violence de l'homme sur des âmes privées de parole et de liberté, dont elle se sent désormais l'avocat par le pinceau.