Et voici que de cette noirceur lumineuse, de ce mur d'obsidienne liquide qu'on n'en finit pas de traverser, au point qu'il n'est plus mur mais infinité de murs, substrat feuilleté de la vie organique ou de l'esprit, on ne sait plus, monte un chant. Est-ce la tristesse ? Un chant de deuil ? Je ne l'entends pas clairement, mais le reconnais. Il invite à la prière et n'est pas une prière. Une lamentation ? Je n'en suis pas sûr.