Ce point, dont parle Kafka, au-delà duquel on ne peut revenir en arrière, j'ai cru l' atteindre plusieurs fois: pensant tout perdre en apprenant que j'étais malade, décidant de cesser d'exercer, puis après avoir écrit mon premier livre. Je l'approchais une fois encore dans la volière où flottent les livres et tout ce qui devient vrai d'avoir été raconté, volière des visages anciens ou de ceux, en écho, croisés au cours des nuits de garde. (p.91)