J’essaierai de modeler mon vieux bougre dans un langage de conte et de souffle de course. Un langage qui dirait sa parole en le signalant muet. Un langage qui mélangerait le silence de sa langue aux frappes dominatrices qui écrasaient son dire. Un langage sans haut ni bas, total en son vouloir, ouvert en son principe.
J’étais victime d’une obsession, la plus éprouvante et la plus familière, dont l’unique sortie s’effectue par l’Ecrire.