« C'était l'heure de la splendeur dans l'herbe, où les merles venaient prendre leur bain de soleil sur la pelouse. L'heure où l'univers semblait entièrement circonscrit aux limites de ce jardin, à l'intérieur duquel ils ne recevaient jamais personne et formaient tous les deux [...] une sorte de société secrète, parfaitement dissimulés par les arbres et les palissades... »