Je ne sais plus où j'avais lu - peut-être était-ce une note en bas d'une page des Merveilles célestes - que l'on peut glisser à certaines heures de la nuit dans un monde parallèle : un appartement vide où l'on n'a pas éteint la lumière, et même une petite rue en impasse. On y retrouve des objets égarés depuis longtemps : un porte-bonheur, une lettre, un parapluie, une clé, et les chats, les chiens ou les chevaux qui vous avez perdus au fil de votre vie. J'ai pensé que ce chien était celui de la rue du Docteur Kurzenne