Invincibles à toute aérienne ou navale, virtuellement insubmersibles, à l’abri de toute arme sous-marine conventionnelle, entourés d’une muraille de missiles et d’espions électroniques, protégés jour et nuit par un champ de radars informatisés, balayant tout autour d’eux, abritant leurs propres forces d’attaque aérienne supersonique…
Aucun mot ne peut décrire avec assez de précision l’invincibilité des porte-avions de la marine américaine. Sauf un. Imprenable.
Ou presque.