Nous sommes rentrés chez nous, main dans la main. Pendant un instant, je suis restée en arrière pour le regarder marcher. Sa démarche chaloupée de marin m'avait toujours touchée. Je savais qu'un jour je m'arrêterais et qu'il poursuivrait sa route, mais jusque-là rien ne pouvait nous séparer. [p.132]