Le capitalisme vert ne se contentera pas d’adapter la planète aux besoins du productivisme : il a besoin d’insérer ses délires technoscientistes au coeur des logiques marchandes. L’adaptation de l’écologie aux besoins du productivisme forme donc son deuxième grand volet. La crise peut être, pour lui, une chance pour poursuivre la marchandisation du monde.