Lorsque j'arrive en ville, je trouve une place de parking en face du musée, où une quarantaine de touristes asiatiques se prennent en photo près d'un car, tout sourires et signes de main, sans se douter que la police passera peut-être leurs photos en revue plus tard dans la semaine pour comprendre ce qui est arrivé à un membre du groupe porté disparu. Je mets de l'argent dans le parcmètre, et trois dollars me donnent le droit à une heure de stationnement, ce qui place la cupidité du conseil municipal au même niveau que celle des criminels.