Monsieur Staunton, vous êtes-vous jamais intéressé à ces "braves gens" autrement qu'en les considérant comme des bras susceptibles, un jour, de prendre les armes et d'entonner le "Ah, ça ira, ça ira..." du peuple français, si la misère les y poussait ? Permettez-moi d'en douter, sans quoi ces "pauvres gens" ne vivraient pas dans un tel dénuement. Si Londres désire vendre son coton en Chine, c'est pour enrichir les propriétaires des usines textiles, pas pour améliorer l'ordinaire des ouvriers.