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Critiques de Paul Gastine (103)
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Jusqu'au dernier (BD)

Un western haletant où on ressent cette atmosphère de "pessimisme" des cowboys face à la modernité (la propagation du train) et où Russell, notre héros, tente de trouver une issue à cette fin annoncée...



Et autant dire qu'à partir de la moitié de l'oeuvre,l'engrenage de l'histoire s'emballe et la violence ira crescendo avec les conséquences qu'on imagine.



J'ai beaucoup notre "trio" de personnage principaux qui sonnaient "vrais" face à cette situation qui leur échappent petit à petit. Ça n'est pas sans rappelé certains westerns à la Eastwood, des histoires sombres où la vengeance prend le pas sur tout.



Quant au dessin de Paul Gastine, rien a redire, ils sont superbes et les paysages de l'ouest américain sont sublimes.



Je ne dirai rien quant à la fin de ce one-shot (pas de spoil) hormis que je serai presque preneur d'une suite...



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Jusqu'au dernier (BD)

Je suis décidément verni dans le genre BD en ce moment, je cumule, d'une part de bonnes suggestions sur Babélio, et d'autre part leurs disponibilité à ma médiathèque. Depuis quelques mois, c'est plus d'une vingtaine de lectures, et vu mon retard accumulé dans ce domaine, c'est loin d'être fini :)

Pour parler de cette BD, je vais commencer par les graphismes, ils sont extra, jetez un œil sur la couverture et vous comprendrez, mais il y a aussi un scénario intéressant, le thème et l'intrigue sont assez originaux, et le traitement, du début jusqu'à l'épilogue est simplement inattendu.

Ce western crépusculaire nous raconte la fin d'un monde, celui des cowboys convoyeurs de bétail, l'arrivée du train et de la modernité sonne le glas de leur mode de vie. Pour beaucoup, le désarroi est total, car la reconversion est pour ainsi dire impossible, fermier ou outlaw ? Pour Russell, ce sera la vie de fermier avec Benett, un simplet qui est aussi son fils adoptif, il a fait des économies et compte se rendre propriétaire d'une ferme...

Ce qui est amusant, c'est la façon dont on peut se faire influencer et abuser par un titre, je n'en dirais pas plus, si ce n'est que j'ai beaucoup aimé cette lecture.
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Jusqu'au dernier (BD)

Très rarement déçue par les BD "one shot" de Grand angle, c'est une nouvelle pépite que nous avons ici.



Une histoire vachement bien travaillée et des personnages profonds et étudiés.



Je n'aime pas beaucoup les westerns, je l'avoue.

J'ai lu celui-ci pour un challenge et aucun regret.



Des paysages sublimes, j'ai eu le sentiment d'y être tout au long de ma lecture. J'étais littéralement au cinéma.



La vengeance est le centre du récit et est ce qui anime le personnage principal Russel, qui voulait prendre sa retraite mais ...



A lire, vraiment.











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Jusqu'au dernier (BD)

Jusqu’au Dernier est un récit de western classique mais extrêmement efficace !

Il traite de la fin des Cow-Boy et de l’incertitude de l’avenir. Ce monde en plein changement avec ses doutes et ses hommes plein d’incertitudes est superbement retranscrit, d’honorable à salaud, de cow-boy à fouille fumier, d’espérance à résignation, ces changements laissent des traces.

La scénarisation est le point fort de cette BD, on se croit dans un film, on peut presque entendre une B.O avec les planches d’ouverture. Les évènement s’enchaînent sans trop de précipitation pour nous laisser le temps de nous attacher aux personnages ce qui est appréciable pour une histoire en un seul tome.



Je recommande à tout amateur de western !
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L'héritage du diable, tome 4

Un dernier tome assez abracadabrantesque! Mais il était probablement impossible d'en être autrement... les rebondissements sont multiples et la fin assez décevante.

Petit bémol : la note intéressante en fin d'album précisant le caractère purement romanesque du dénouement à l'exception du rôle joué par un agent double lors du débarquement en Normandie.

Le dessin a fortement évolué depuis le T1 et reste très agréable.

En synthèse une série qui se laisse découvrir mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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L'héritage du diable, tome 3

3ème opus d’une aventure en 4 tomes toujours aussi énergique, improbable et fleuretant avec les recettes du Da Vinci Code.

L’ésotérisme et les affrontements bons/méchants font rage.

Si nul ne sait encore comment tuer quelqu’un que le pouvoir du diable a rendu immortel, nous supposons toujours que Constant va pouvoir retrouver Juliette avant Miss Calvé et sa bande de nazis.

Seul mystère restant : que veulent réellement les Rosicruciens?

Après un détour dans l’Aude puis au Mont Saint Michel, nous nous retrouvons en Écosse où le mystère va continuer de s’épaissir.

Le dessin reste classique.

Un T4 qui s’annonce prometteur.
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L'héritage du diable, tome 1 : Rennes-le-château

Un roman graphique historique se situant aux alentours des années 30 et reprenant les codes d’un mystère bien connu concernant L’Abbé Saunière et RENNES LE CHÂTEAU.

Un assemblage d’enquête policière, d’ésotérisme et de culture artistique font la trame de ce titre.

Quelques réminiscences me sont revenues en parcourant ce récit car il y a une quinzaine d'années, j’avais lu le livre de Jean-Michel THIBAUX :" LE SECRET DE L’ABBÉ SAUNIÈRE ".

Ce tome est suivi de trois autres pour aller au bout du secret
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Jusqu'au dernier (BD)

Waouh ! Je viens après tout le monde puisque "Jusqu’au dernier" est paru en 2019, mais quelle claque ! Voilà de la très bonne BD de western.



C'est une fin d'époque bénie pour les cow-boys, de plus en plus concurrencés par le chemin de fer qui commence à atteindre le far west. Russell, un de ces cow-boys, décide de prendre sa retraite après son dernier convoi de bétails. Il veut s'installer dans un ranch avec son second, Kirby, et Bennett, un enfant simplet qu'il a adopté. Le trio s'arrête pour se ravitailler à Sundance, toute petite ville du Wyoming. Pendant que le maire se fait corrompre afin qu'une gare s'installe dans sa commune apportant à ses habitants de futures rentrées d'argent, le cadavre de Bennett est découvert. Voyant que le chemin de fer ne va pas faire étape dans une ville où on tue des enfants, le maire est prêt à étouffer l'affaire ou à faire accuser n'importe lequel de ses concitoyens inutiles. Mais Russell et Kirby ne l'entendent pas de cette oreille et vont, à l'instar de Clint Eastwood dans son film "Impitoyable", et dans une ambiance dantesque de fin de monde, déclencher un véritable bain de sang.



Jérôme Félix nous livre un excellent scénario où la violence est omniprésente et aux rebondissements qu'on n'avait pas vu venir. Comme en plus les personnages et les décors sont excellement bien dessinés par Paul Gastine, on a entre les mains un pur chef d'œuvre. Il suffit pour s'en convaincre d'en admirer la couverture.
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Jusqu'au dernier (BD)

C'était au temps où Russel rêvait



Russel est un cow-boy. Pas un de ceux que la légende a magnifié, qui s'éloigne sur son fidèle coursier tandis que tombe le soir, laissant derrière lui cadavres et veuves éplorées, après des duels avec gros plans sur les yeux. Non, Russel, c'est un bouseux qui chevauche dans la poussière des plaines, pour convoyer le bétail.



Et puis un jour, à Abilène où il livre un troupeau, il découvre que son mode de vie va disparaître. Les gares poussent, le train avance partout dans le pays et bientôt les cow-boys n'auront plus de travail, même en traversant la rue.



Alors, Russel décide de raccrocher les éperons. Il propose à Kirby, un de ses compagnons, de l'associer dans l'exploitation d'un ranch qu'il compte acquérir. En échange, Kirby devra s'occuper de Benett, un jeune innocent que Russel a recueilli jadis, le jour où ce dernier disparaîtra.



Sur le chemin de ce rêve, se trouve Sundance.



Cette ville espère bénéficier prochainement d'une gare. Pour ça, il lui faudra payer et surtout, rassurer. Rien ne doit venir troubler la sérénité de l'endroit.



Mais quand Benett est assassiné, Russel va exercer sa vengeance et faire un festival à Sundance.



Bien sûr, on pense aux films de Peckinpah (sans les ralentis forcément), aux Eastwood (L'homme des Hautes palines, Pale Rider...), à 3h10 (grève non comprise) pour Yuma, Wyatt Earp...ces westerns crépusculaires où des anti-héros sont poussés malgré eux à la vengeance.



Jérôme Félix livre un récit plein de bruit et de fureur, parfaitement maîtrisé, même si les caractères auraient gagné à être davantage fouillés. Paul Gastine sublime l'histoire par son dessin puissant et expressif.



Un pur concentré de bonheur avec quelques creux, mais beaucoup de bosses.
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Jusqu'au dernier (BD)

Une histoire dans la veine d'open range. Proposée en deux tomes elle aurait gagné en épaisseur dans le traitement de certains personnages. La lecture est très rapide et l'attache pour certains personnages aurait mérité plus de background. Le dessin est maîtrisé et l'ambiance western crépusculaire également.
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L'héritage du diable, tome 4

Les diableries de l’abbé Boudet.

Rennes-le-Château, dans le massif des Corbières, dessine naturellement un pentacle avec la disposition de cinq collines de même hauteur et à équidistance. Au centre de la figure géométrique se trouverait la porte des enfers, le lieu d’invocation du diable. Emma Calvé et ses sbires nazis se rapprochent du champ de force tellurique, avides de se saisir de la puissance du mal mais des maquisards et des rosicruciens tentent d’empêcher l’aboutissement du projet dément de Calvé ou encore de la berner à travers un plan machiavélique conçu par l’abbé Boudet.

4e tome clôturant « L’Héritage du diable », « L’apocalypse » tente de résoudre le fantastique nimbant les épisodes précédents à travers une explication rationnelle des événements, le faisant basculer dans l’étrange. Le scénariste rame en conséquence et donne une histoire verbeuse et confuse. Le rythme s’en trouve alenti alors que l’action demeure trépidante. Le comportement de Calvé faisant la lumière dans la nuit des Corbières, celui de Boudet envoyant sciemment à la mort des jeunes hommes dévoués sont particulièrement odieux et font douter de la notion de bien et de mal, l’abbé Boudet pouvant endosser la défroque du diable sous ses bonnes intentions. Les dessins et les couleurs de Paul Gastine sont superbes. Son talent lumineux rehausse un récit quelque peu plombé.
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Jusqu'au dernier (BD)

A la lecture du collectif Go west, j’ai été très attirée par le dessin de ce jeune auteur de bande dessinée Paul Gastine. Alors je me suis offert cette bande dessinée que mon libraire préféré et amateur de BD ne connaît pas… je ne suis pas déçue par le dessin que je trouve très précis, sombre avec néanmoins un beau travail sur les couleurs. Le scénario de Jérôme Félix est extrêmement sombre mais se clôture par un brin d’espoir et une morale sur un point seulement après bien des morts accompagnant la fin d’une époque. Une belle BD
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Jusqu'au dernier (BD)

Ce qui m'a le plus plu dans cette bd sont les dessins. Ils sont vraiment reussi, les visages sont parfois tellement bien fait. Au niveau de l'histoire, elle est un peu trop courte a mon gout et la fin surtout mrritait d'etre developpé. Mais en tous cas si vous aimez le western et les beaux dessins je vous recommande
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L'héritage du diable, tome 3

L’inconnue du pentacle.

Le zeppelin des rosicruciens ne fait pas long feu après avoir explosé. Dans sa chute incendiaire, il accroche un arc-boutant de l’abbatiale du Mont-Saint-Michel, permettant à Diane et Constant une échappée rocambolesque. L’incendie ravage ensuite le Mont. Pendant ce temps, la cantatrice fauve Emma Calvé arpente le château écossais de Scarfskerry afin de trouver un tableau du XVIIe siècle qui pourrait la mettre sur la piste de Juliette, l’héritière du diable. Calvé se moque bien de l’apocalypse qu’elle pourrait déclencher. Elle fait cavalier seul, les nazis n’étant que des faire-valoir.

3e tome d’un quadrilogie endiablée, l’histoire, inspirée du « Da Vinci Code » (2003) de l’écrivain américain Dan Brown, mâtine habilement le thriller ésotérique et l’uchronie sur fonds historique de la Seconde guerre mondiale. Traumatisés dans leur enfance, le couple de héros Diane et Constant approche la mort pour, peut-être, renaître. Paul Gastine gomme les raideurs des volumes précédents et déroule un graphisme inspiré et convaincant. Une question anecdotique demeure. Comment deux auteurs normands ont-ils pu faire brûler le Mont-Saint-Michel ?
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Jusqu'au dernier (BD)

Très moyen. Je suis un peu déçue par le scénarios ainsi que les personnages qui aurait mérité d'être un peu plus creuser. Peut être si l'histoire avait été étalé en 2 ou 3 albums ça m'aurait plus plu. Bref, ce ne fût pas transcendant pourtant j'aime beaucoup les BD western.
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Jusqu'au dernier (BD)

Si vous êtes fan de BD - tout particulièrement de western -, et si vous me dîtes que vous n'avez jamais remarqué l'album de Jérôme Félix et Paul Gastine lors de vos promenades dans les rayons de votre libraire favori, sachez que je ne vous croirais tout simplement pas !



Comment en effet, sérieusement, ne pas avoir l'œil attiré par ce grand format (24*32 cm) publié par Bamboo, l'éditeur, dans sa collection Grand angle, qui privilégie (comme son nom l'indique) la vision "comme au cinéma" ?.



Vos mirettes se seront forcement fixé sur la couverture, exceptionnelle, probablement la plus belle de la BD 2020.



Sujet, précision du trait, couleurs et contrastes incroyables, la une de Jusqu'au dernier est tellement belle que j'irais presque jusqu'à encadrer l'album pour l'accrocher au mur ! Un vrai bonheur...



Mais il ne suffit pas d'une belle et grande image pour faire le succès d'une BD, et si le one shot de Félix et Gastine a fait un tel tabac sur la durée, c'est grâce au bouche à oreille.



Le travail d'éditeur est vraiment hors du commun : une fois la jaquette soulevée (car il y a une jaquette pour protéger l'album), le lecteur découvre, imprimé au revers, une somptueuse fresque en noir et blanc.



Fresque que l'on retrouve mise en couleurs, à l'intérieur de l'album, sujet d'un encart cartonné digne, toujours, d'une édition collector.



[Lire la suite de la critique sur mon site Le Tourne Page]




Lien : https://www.letournepage.com..
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L'héritage du diable, tome 1 : Rennes-le-château

L’amour flou.

Tout commence par un rite sacrificiel dans une crypte moyenâgeuse. Une vierge est assassinée en offrande aux forces du mal alors que le diable invoqué s’incarne dans le corps et l’esprit d’un nervi du pape. Un saut spatiotemporel fait débuter le récit à Paris, en septembre 1938. La Seconde guerre mondiale est imminente. Les nazis arpentent le monde afin de s’octroyer tout ce qui pourrait augmenter leur puissance. Quand un jeune peintre croit reconnaître chez un antiquaire, dans une reproduction d’une toile de Nicolas Poussin, la femme qu’il a aimée et qui s’est volatilisée depuis plusieurs années, il n’hésite pas à surenchérir car il pense que les mystérieuses indications contenues dans le tableau pourraient le mettre sur la piste de sa dulcinée. L’idéaliste et monomaniaque artiste ignore que les nazis ont des vues sur le même tableau apte à les mener jusqu’à l’héritage du diable.

Inutile de chercher de la cohérence dans un récit qui flirte avec l’irrationnel ! Bien que le scénariste Jérôme Félix cherche à recoller les morceaux pour crédibiliser une confuse histoire ésotérique, l’intérêt n’est pas dans l’accumulation des poncifs, tableau énigmatique, parchemin sibyllin, nazis diaboliques, espionne dépravée, etc. mais dans le rythme trépidant d’une aventure riche en rebondissements qui n’est pas sans ressemblance avec Indiana Jones et les Aventuriers de l’arche perdue. On y retrouve la même période historique, la recherche de reliques associées à des mythes mais là où le héros américain était érudit et casse-cou, le peintre français apparaît naïf et obstiné. Heureusement, une belle aventurière sans foi ni loi vient semer le trouble et remanier les cartes d’une partie qui semblait jouée d’avance. Le cliffhanger d’enfer titille le lecteur pour le précipiter sur la suite en trois volumes. Paul Gastine, malgré quelques maladresses, donne une belle allure à sa bande dessinée qui s’inscrit pleinement dans une veine populaire riche et enthousiasmante.
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Jusqu'au dernier (BD)

Lu au saut du lit, ce western en BD peut vous plomber la journée...



J'ai tout simplement adoré, failli pleurer au moins cinq fois, finalement versé ma petite larme vers les dernières pages et surtout désespéré en lisant sur la tranche : "Histoire complète". En même temps, vu le titre, faut pas s'attendre à des résurrections..Mais tout de même, cette BD mérite amplement un second opus.



Je ne dirai pas mieux que la 4eme de couv' : " Un western crépusculaire et magistral à l'heure des derniers cowboys".



Et quels cowboys ! Des durs à cuire, des vrais cowboys quoi ! Qui ne tiennent pas à laisser leurs vastes prairies pour un lopin de terre et quelques cochons...Mais c'est pourtant ce qu'il risque d'arriver depuis que les gares poussent comme des champignons dans tout le Far West.

Et le vieux Russel devra bien s'y résoudre...ou pas.



Quel sublime scénario ! Ouch ! A peine tu te remets de tes émotions, qu'une autre tragédie te tombe dessus ! Il n'y a pas un seul moment de répit dans cette histoire vraiment captivante.

Les personnages sont bien travaillés. D'un seul regard, on parvient à percer leurs états d'âmes.

Mention spéciale à Miss Collins, l'institutrice de Sundance, qui m'a beaucoup fait penser à Laura Ingalls, par son physique, son courage et son humanité.



Que dire de plus sans dévoiler trame et drames de cette BD extra ? !

Eh bien rien...

Lisez-la !
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Jusqu'au dernier (BD)

Une bd sombre au trait léché pour une période historique à la mode, celle de la fin des cow boys et d’une certaine idée du rêve américain. L’histoire n’est pas forcément très réaliste (beaucoup se passe en bien peu de temps), mais le dessin est très beau, notamment les jeux d’ombre et de lumière, et c’est un bon moment de lecture.
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Jusqu'au dernier (BD)

Un bon moment. Une bande dessinée sur le far West. Thème que j’adore.

Moderne dans le graphisme mais une histoire palpitante.

A lire sans modération.

Le dessin reste un peu trop moderne pour moi cependant. Pas assez de détails et les bulles de dialogues trop condensés mais cela fait partie des nouvelles "règles actuelles" peut être.

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