Combien de pas ont effacé les miens dans toutes ces rues où je me promenai, combien d'autres enfants ont joué aux endroits où je jouai ! Dire qu'il y a plus de vingt ans de tout cela, plus de vingt ans que j'ai vécu là, que j'ai respiré là, et que rien de ces choses ne peut revivre. Beautés évanouies, silence éternel.