Citations de Paul McCartney (17)
Le bassiste, c’était généralement le mec un peu gros qui se trouvait au fond de la scène. Dans notre esprit en tout cas, c'était presque toujours le petit gros qui jouait de la basse, et qui restait à l’arrière de la scène. Aucun d'entre nous ne voulait être ce type. Nous voulions être à l'avant, chanter, être beaux. On voulait être remarqué. Tout simplement.
Quand j'ai eu Kanye West pour la première fois au téléphone, il a dit "nigger" environ 40 fois pendant la conversation. Ma femme a été choquée.
Si quelqu’un veut sauver la planète, tout ce qu’il doit faire est simplement de cesser de manger de la viande. C’est la chose la plus importante à faire. C’est stupéfiant, quand on y pense bien. Le végétarisme règle tellement de choses d’un seul coup : l’écologie, la famine, la cruauté.
« Voilà de nombreuses années, j'étais en train de pêcher et comme je ramenais le pauvre poisson, je me suis soudainement dit : "Je suis en train de le tuer, et tout cela pour le plaisir momentané que cette activité m'apporte". Un déclic s'est produit en moi. J'ai pris conscience, en le regardant se débattre pour avoir de l'air, que sa vie était aussi importante pour lui que la mienne l'était pour moi »
Quant à ceux, et ils étaient nombreux, qui détestaient ce bruit, le rock était de la barbarie à l'état pur : il présageait quelque chose de fatalement pourri dans la civilisation occidentale.
Tous les liverpuldiens se sentent unis comme les membres d'une même famille, surtout quand ils sont loin de chez eux. On peut quitter Liverpool, mais Liverpool ne vous quitte jamais. Elle n'a jamais quitté Paul McCartney.
Les rumeurs à propos de ma mort ont été grandement exagérées.
The rumors of my death have been greatly exaggerated.
Tout le monde à voix au chapitre. La même voix. En tout cas, chez les Beatles, pendant dix ans, ça s'était passé comme ça. Si Ringo n'aimait pas une de nos chansons, ce qui n'arrivait pas souvent, il pouvait mettre son veto sur une chanson de Lennon et McCartney. Il avait le droit de faire ça.
George Harrison était mort en 2001. Alors, j'ai demandé à Paul comment cela se passait maintenant que la moitié du groupe avait disparu. Il m'expliqua que leurs veuves, Yoko et Olivia, avaient tout simplement pris leur place. "Elles sont John et George. Ça marche exactement de la même façon, à quatre. Il faut qu'on soit d'accord tous les quatre, il n'y a pas de trois-contre-un ou de deux-contre-deux. Ça a toujours été le truc des Beatles".
Je crois qu'un journal nous avait demandé: "Quels sont vos bonbons préférés ?". On aimait bien les Jelly Babies. Du coup, on a commencé à en recevoir. Il y en avait dans toutes les lettres. Ça encore, ça allait, on les donnait à nos copines. Mais elles ont commencé à nous en lancer sur scène, et ces petits bonbons en gélatine sont vraiment collants. Le pire, c'était le jour du concert de Washington (11 février 1964). On n'arrivait plus à bouger. On était collés à la scène comme si c'était de la Superglue.../... Les actions du fabricant ont grimpé en flèche. C'était tellement fou qu'une année, on a reçu des lettres de Bassett (le fabricant) : "Tenez, en voilà encore si vous voulez !".
puisque l’élevage du bétail qui finit dans nos assiettes accentue l’émission de gaz à effet de serre (18%), eux-mêmes responsables du réchauffement climatique, éliminons-les au moins une journée dans la semaine. Trêve de porc, de bœuf, et de poulet le lundi! Une façon simple et significative de faire un geste pour l’environnement. De lutter, aussi, contre la faim dans le monde, et contre les mauvais traitements souvent réservés aux animaux.
Je peux comprendre qu'il y ait deux façons de voir ça : soit, tout simplement, vous n'êtes pas obligé d'aller à un endroit précis cet après-midi, ou bien, dans la vie, vous n'avez nulle part où aller. C'est plutôt zen, si vous voyez ça de cette façon.
On ne va pas insister lourdement sur l'histoire des Beatles ; cette partie de ma vie a été suffisamment rabâchée.
C'était comme l'affaire du ski, un truc typique d'acteurs : "tu sais monter à cheval ??" "Ouais !" Alors que pas du tout.
Regardez l'aiguille de la boussole tournicote, et laissez agir la magie rigolote !
L'essence même du fonctionnement des Beatles, c'était "chacun son truc". La liberté. Tout à coup, ça devenait : "voilà ce que vous devriez faire", en pointant un doigt accusateur sur nous. Ce qui avait le chic de me mettre en rogne.
On nous a dit: "Bah, de l'adversité est né un bon album". Je déteste cette théorie. Peu importe qu'elle se vérifie ou non. Je déteste l'idée qu'il faille en baver pour produire quelque chose de bon.