Avec " Les Racines du ciel", il avait changé de statut dans le monde de l'édition. Il profitait enfin du succès auquel il aspirait depuis si longtemps. Lesley : " Maintenant il gagne sa vie avec ses livres, comme ses amis américains. Cela ne le calme pas.La crainte de manquer, je crois, née de l'enfance, provoque une sorte de panique dont il ne pourra jamais se débarrasser. Il râle, il craque, se ressaisit, devient follement généreux. Excessif tout le temps (...)"
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