Un miroir devant ce que chacun recèle d’indolence, d’égocentrisme,de stupidité mais aussi de génie et de prodigalité. Serait-ce par déni que les gens, « normaux » refusent de les regarder, de les côtoyer, lui et ses semblables ? Je suis de ceux-là, hélas, Paul-Eugène. Qu’un même sang coule dans nos veines ne suffit pas à me donner le courage de t’héberger sous mon toit.