ce livre m'a fait connaître une femme merveilleuse avec un très grand coeur, généreuse avec les enfants et elle aurai tous donner pour eux. Connaître aussi notre belle ville de Québec dans c'est année là. Moi j'aurai aucun problème à le conseiller à d'autre.
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Un peu déçu de la fin pour elle, elle a tellement travaillé pour le peuple et les pauvres! Elle a dû se battre pour conserver son statut et ce jusqu'à la toute fin! Vraiment courageuse ce petit bout de femme! Très bon roman historique!
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Un miroir devant ce que chacun recèle d’indolence, d’égocentrisme,de stupidité mais aussi de génie et de prodigalité. Serait-ce par déni que les gens, « normaux » refusent de les regarder, de les côtoyer, lui et ses semblables ? Je suis de ceux-là, hélas, Paul-Eugène. Qu’un même sang coule dans nos veines ne suffit pas à me donner le courage de t’héberger sous mon toit.
La religion est la première responsable de l’abandon des enfants nés hors mariage. Sans égard au géniteur, le prêtre fait porter à la mère toute la
responsabilité et la punition qu’une telle faute mérite, à son point de vue.Vous devinez bien que ce certificat de bonne conduite n’est pas accordé
facilement. Certaines mères ne l’obtiendront jamais…
Les humains se ressemblent tous, Irma. Tu as dû le constater… à New York, à
Montréal, en Serbie, en France, en Allemagne et ici. Partout, il y a des gens
admirables et d’autres… qui nous font souffrir.
Le temps est un bien que beaucoup de femmes ont le goût de donner. Il suffit de leur demander de le mettre au service d’une bonne cause, comme celle des enfants malades, et elles vont le faire.
Les prisonniers ne sont pas tous des criminels. Je te dirais, Charles, que nombre d’entre eux ne sont pas coupables des méfaits dont on les accuse...