On naît et on meurt seul, quoiqu'il advienne. Cet inconfort douloureux, c'est le mien. Je suis la seule à pouvoir, à devoir même, l'endurer, puis le dominer. Ma douleur, j'aurais envie de la gémir toute la journée, mais par pudeur, par éducation, par souci de la vie, je ne le fais pas. Les autres ont leurs problèmes. Et puis à quoi bon ?