Par le passé, j’ai accepté beaucoup de propositions, de relations, de situations qui ne me convenaient pas, par peur de décevoir. Une part de moi croit toujours qu’elle doit être gentille et répondre aux besoins de l’autre avant les siens. Lorsque j’étais enfant, on m’a bien plus appris à dire «oui» qu’à dire «non». Aujourd’hui, je sais que si je dis «oui» alors que je pense « non », je le payerai tôt ou tard ou je le ferai payer à quelqu’un, ce qui revient au même.