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3.45/5 (sur 22 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Lewisham , le 11/04/1920
Mort(e) le : 3/05/2010
Biographie :

Peter O'Donnell, né le 11 avril 1920 à Lewisham et décédé le 3 mai 2010, est un écrivain anglais. Il est le créateur de la figure de Modesty Blaise. Sous le pseudonyme de Madeleine Brent, il a écrit aussi des romans historiques pour un public féminin.

La première bande dessinée avec Modesty Blaise, la belle et dangereuse espionne britannique, pour laquelle O'Donell est le scénariste, est publiée en 1963 dans le Evening Standard. La bande dessinnée est imprimé sans interruption jusqu'en 2001 et dans tout le monde. Après le film de Modesty Blaise avec Monica Vitti, sous la direction de Joseph Losey en 1966, est publié le premier roman de Molesty Blaise. Il est suivi par 10 autres. Les romans sont traduit dans 16 autres langues.


Source : Wikipedia
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Citations et extraits (6) Ajouter une citation
Dans le Bon Rêve, je distinguais son visage, que je connaissais aussi bien que le mien, et une grande joie m’envahissait tandis que je m’avançais vers lui. Il tendait les mains pour saisir les miennes. Alors, je m’éveillais, lentement, à regret, les membres lourds, toute baignée d’une grande chaleur.
Mais, s’il s’agissait du Mauvais Rêve, celui que j’avais fait la nuit précédente, alors, quand je voyais le visage, le même visage, je me sentais soudain en proie à une peur glaciale, irraisonnée. L’homme s’avançait vers moi en me tendant les mains, et, saisie de terreur, je me détournais pour m’enfuir. Mais mes pieds étaient paralysés, je ne pouvais marcher, et, au moment où ses mains me touchaient, ou bien je m’éveillais, glacée et gémissante, ou bien l’obscurité m’enveloppait comme un manteau, et le cauchemar s’achevait sans que je me fusse éveillée.
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Dans mon rêve, j’arrivais en bateau jusqu’à la maison et je gravissais les larges marches de pierre, je parvenais à la porte à double battant, grande ouverte entre deux piliers. Au-delà, tout était obscur.
Je cherchais quelqu’un qui m’attendait dans la maison. Dans mon rêve, je savais fort bien qui c’était, mais, dès que je m’éveillais, je l’oubliais. Je savais seulement qu’il s’agissait d’un homme. Je n’avais pas peur : je traversais des vestibules sombres, je suivais de larges couloirs, je montais un grand escalier. Il m’attendait dans une chambre d’en haut, et j’avais hâte de le trouver. Dans mon rêve, je connaissais chaque détail de la maison, mais, quand je m’éveillais, tout s’était effacé de mon esprit, tout se brouillait.
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L’histoire s’enveloppait d’un merveilleux mystère, parce que grand-mère ne se rappelait pratiquement rien de sa vie avant cet événement, pas même son nom de famille. Ce qui lui était arrivé avait détruit sa mémoire, et elle ne se rappelait, de sa jeunesse, que des petites scènes vagues. Elle s’était souvenue de son prénom, Caterina, et c’était tout.
Pour commencer, il me fallait l’imaginer telle qu’elle avait été à vingt ans. Sans en être très sûre, elle pensait qu’elle avait dû avoir une vingtaine d’années à l'époque.
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A Mawstone, tout cela faisait naturellement de moi quelque chose comme un phénomène. Il y avait des gens pour penser que je me donnais de grands airs, à parler comme une délicate petite demoiselle anglaise, mais, pour la plupart, ils étaient très gentils. A leurs yeux, j’étais de toute manière une étrangère, puisque j’étais Italienne pour un quart, et ils pardonnaient aisément à une étrangère ce qui, chez une vraie fille de Cornouailles, aurait pu les irriter.
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Je suis persuadé que des hommes bien supérieurs à moi n’ont pas été capables de trouver les mots qui convenaient pour remercier ceux qui leur avaient sauvé la vie. Je ne puis que vous dire que je vous remercie du fond du cœur.
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Peter O'Donnell
Mace: the nerve spray that brings agony to every pinpoint of skin it touches - and displaces oxygen in the lungs to bring temporary disablement (Butch Cassidy rides again, Modesty Blaise)
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