En général, elles ne sont pas heureuses : elles ont été fascinantes, la gent masculine faisait la queue pour entrer dans leur chatte, si j’ose dire, et ça s’est arrêté quand elles ont vieilli. Leurs maris sont morts. Personne ne s’intéresse à ce qu’elles racontent. À part moi. Je pourrais les écouter toute la journée. J’adore leur voix posée, élégante, rauque, emplie de lames de rasoir sous-jacentes, mais par-dessus tout, j’adore leurs histoires.