Peter Woit

Lourd et pénible à lire. Au bout de quatre-vingt pages, force est de constater que ce n'est vraiment pas la qualité littéraire de ce texte qui permettra de déboulonner la théorie en question. Le style de l'auteur, d'un ennui sans borne (ce qu'il raconte, par exemple, sur les accélérateurs est à peine plus intéressant qu'une liste des commissions), perd le lecteur avant la fin de l'ouvrage. Très isolées et totalement perdues dans un charabia émaillé de ragots salaces sur les mœurs des physiciens allemands dans les années 20/30, il y a bien une ou deux informations qui m'ont paru pertinentes et c'est heureux parce que sinon je ne serais jamais allé jusque là.

Une belle et joyeuse démystification de la pensée correcte et dominante des maîtres à penser du monde qui jusque là ont interdit toute réflexion ...



Cela commence à changer...



Le Maître est nu !