- Supposons qu'on fouille dans les ruines et qu'on découvre tout un entrepôt plein de calendriers avec des filles dessus. Vous vous rendez compte? (Ses pensées se bousculaient.) Combien le type pourrait-il en retirer? Des millions? Il pourrait les échanger contre des terres, acheter tout un comté.
- Exact, opina Hardy.
- Il serait riche à jamais. Ils en font quelques-uns, en Orient, au Japon, des calendriers, mais ils ne sont pas bien.
- J'en ai vu, acquiesça Hardy, ils sont grossièrement dessinés. Le tour de main en cette matière a décliné, est tombé dans l'oubli. C'est un art mort. Peut-être pour toujours.