La maison, ce havre chaud, cette entité protectrice, chargée d'hérédité, au moins d'une volonté tutélaire, empreinte d'une dignité qui dépasse de loin les enjeux financiers. La maison, donc, a été outragée dans sa pérennité débonnaire. Elle reste ouverte, continue d'assurer son sacerdoce, héroïque et brave comme une veuve, qui poursuivrait sa marche en claudiquant, écartant d'un geste magnanime tous les bras secourables.