Ce premier jour, la machine attaque fort, on ne trouvera pas une ombre de qualité à Pauline, uniquement des défauts, et à peu près tous. C'est la ruée vers l'abjecte. On a du mal à y croire quand on connaît vraiment sa vie, son caractère et ses actes (même si elle est loin d'être une sainte, un ange ou une nonne), mais ce jour-là, il faut être bien clarivoyant et prendre bien du recul, dans ce gros concert d'animosité, de coups bas et d'anathèmes irrévocables, pour réussir à penser que cela ne peut pas être aussi simple, qu'il existe une possibilité pour qu'elle ne soit pas, de manière si primaire, l'incarnation du Mal.