Exister pour quelqu'un d'autre, c'est vivre deux fois.
Le bonheur n'existe que s'il est partagé !
La force du marin, c'est d'abord d'avoir un port !
Souhaitant apporter quelques précisions sur une confusion courante, historique et technique, concernant les gaz de combat utilisés pendant la grande guerre.
Cette confusion s'est glissée dans le texte aux pages 137/138 et concerne le gaz Ypérite dit "gaz moutarde" du fait de son odeur caractéristique et de sa couleur. Le concerné "Camille" n'a pu, dans la période décrite par l’auteur en 1915, avoir été affecté par ce gaz car il n'a été utilisé au combat qu'en 1917 lors d'une des batailles de Ypres. Il semble plus approprié de préciser que le gaz de combat utilisés à Ypres en 1915 (origine de la confusion point géographique et gaz utilisé) était du "Chlore". Le symptôme constaté avec ce gaz était l'asphyxie par lésions aux poumons et aux voies respiratoires mais en aucun cas en 1915 aggravé de brulures cutanées propres, entre autre, à l'Ypérite d’où la protection totale nécessaire.
Ils pouvaient conseiller, pour un cadeau par exemple, et savaient orienter le choix et les recherches. « Je suis libraire, pas marchand de livres », aimait à dire l'un d'entre eux, à la ville sous-prérfecture.
Faut-il croire que les paradis que l'on recherche n'ont d'attrait que tant qu'ils sont hors de portée et qu'on fait route vers eux, avant que l'atteinte du but ne déçoive le pèlerin le plus convaincu ?