Gisèle Freund (1908-2000)
Chacun de ses visages raconte une histoire. On ne se lassera pas de répéter que l'histoire littéraire de ce siècle doit payer sa dette à ses portraits car, ce qu'elle a capté et restitué là, nul autre n'a su le faire (...) "L'oeil n'est rien s'il n'y a personne derrière", disait-elle souvent. (p. 302)