Ecrire m’est davantage une réparation qu’une création, un devoir qu’un plaisir, une souffrance qu’une jubilation. Il en a toujours été ainsi. Et je crois comprendre les raisons pour lesquelles je n’ai ressenti que très parcimonieusement cette jouissance de l’écriture que revendiquent certains écrivains. La jouissance est dans la création, dans la réparation est la culpabilité…