Rudolf Nureev
Rudolf était solaire, c'est-à-dire qu'il rayonnait. Sa beauté coupait le souffle et affirmer qu'il fut le plus grand danseur de son temps est-au dessous de la vérité. Il fut -la- danse, comme Callas fut -le- chant. D'ailleurs, n'écoutons pas ceux qui font des réserves sur l'un ou sur l'autre. Ils avaient tout simplement du génie. L'un et l'autre n'avaient qu'à apparaître. (p. 152)