Alexandre vit un banc ; il se précipita dessus. Mais déjà, il avait parcouru la moitié de la distance, lorsqu'un homme s'y était déjà assis.
Le jeune solitaire, s'assit à côté de l'homme, l'air mécontent. Il regarda l'homme, et vit ce qu'il lisait ; c'était un livre intitulé "Le Gai Savoir", dont il avait entendu parler en cours de philosophie, au lycée. Il lut deux lignes, et eut une révélation.
Pensif, Alexandre, regarda les coutures de ses vêtements.
Et la roue tournait, tournait…
Il regarda alors la roue. Elle s'était arrêtée.
-J'ai perdu !!! cria-t-il, aterré.
-Lorsqu'on joue, il faut s'attendre à perdre, dit monsieur Morrel, en le regardant.
Il entendit le son d'un coup de mousquet, et alors il vit un déluge de feu, qui plongeait sur lui. Mais vite, la vision s'effaça sous l'âpre, la plate, la modeste réalité.
Il regarda la mer, et vit un des représentants les plus typiques de la biodiversité régionale : une bouteille en plastique, jeté par l'Anonyme Pollueur.
-Que se passe-t-il, Maximillien ?
-Tu as vu ce que j'ai à la main ?
-Maximillien !!!
-Je vais mourir.