Dans ce même préambule, le Bey annonce que les réformes que consacre le Pacte ont été auparavant adoptées par le Chef de l’Islam et ceux des « grandes puissances qui se sont placées par leur saga politique à la tête des nations » et qui ont donné « à leurs sujets les plus complètes garanties de la liberté. Ils ont compris que c’était là un de leurs premiers devoirs dictés par la raison et la nature elle-même. Si ces avantages accordés sont réels, la chari‘a doit les consacrer elle-même, car elle a été instituée par Dieu pour défendre l’homme contre les injustices. Quiconque se soumet à la justice et jure par elle se rapproche de la piété ».