C’est comme la fin du monde. Je n’avais jamais été sous des tirs d’artillerie aussi importants… On est collé à la terre comme des ventouses, on aurait voulu disparaître sous la terre pour ne pas être haché… Quand ça c’est arrêté, je me suis relevé et j’ai pris mes jambes à mon cou pour rejoindre ma position à 800 mètres.