Sam Eliasar, ou le solitaire malgré lui, errait de son côté à l’aventure, entrant chez Marie-Anne alors que Krühl en sortait et se faisant ouvrir des huîtres chez Boutron au moment même où M. Krühl venait de s’en aller.
Il portait lui aussi le chandail à col roulé. Son éternelle cigarette aux lèvres, il s’adaptait à merveille l’air las et désabusé qui était en quelque sorte l’impôt que la lande mélancolique exigeait de ses admirateurs civilisés.