En un mot, tu peux admettre que l’acuité d’un sentiment soit une figure ayant une forme, dont tu ressentiras la qualité que je puis définir : « spirituellement solide ». Il ne te serait point impossible de donner à cette sensation extériorisée un corps (imaginaire, mais en même temps, réel). […] Un jour viendra bientôt, où vous découvrirez que vous pourrez appeler les fantômes de vos sentiments et de vos pensées.