L’image positive de la France restait ancrée dans bien des esprits. C’est vers elle qu’ils se sont tournés dans la tempête pour trouver refuge. La métropole, en 1990, abritait 110 000 Indochinois, 45 000 Cambodgiens, 32 000 Laotiens, 33 000 Vietnamiens. Chiffres qui ne reflètent qu’imparfaitement la réalité.