Fey n’était pas lâche, mais elle était pragmatique : elle n’acceptait que les combats qu’elle avait toutes les chances d’emporter. Elle aimait la surprise et la traîtrise. Elle aimait le surnombre. Elle aimait les arbalètes contre les épées. Les affrontements équitables, elle les laissait à ceux qui avaient de l’honneur et une place déjà réservée au cimetière.