Tréflinquart était dans la salle de bains, terminant ses ablutions tardives. Il s'humectait les dessous de bras avec Schpoum, une eau de toilette parfumée pour bonshommes. Sur l'étiquette collée à la bouteille, un apollon sans graisse ni muscles, à la peau lisse et très blanche - presque cadavérique -, la poitrine sans poil, assis en tailleur et coiffé d'un turban bleu ciel, sa belle denture à l'air, déclarait dans une bulle : Schpoum, c'est sain ! Schpoum c'est mieux ! Schpoum, c'est l'homme moderne !