ÉRASTE : Mais, dis-moi, cette comédie dont tu nous régales, est-elle divertissante ? Tu as de l’esprit ; mais en as-tu assez pour avoir fait quelque chose de passable ?
MERLIN : Du passable, monsieur ? Non, il n’est pas de mon ressort. Les génies comme le mien ne connaissent pas le médiocre ; tout ce qu’ils font est charmant ou détestable ; j’excelle ou je tombe, il n’y a jamais de milieu.
Scène I.