(...) en m'engageant dans cette voie (...) je savais que je ne façonnerais pas des ingénieurs, des médecins ou des avocats, mais des manutentionnaires, carreleurs, tourneurs-fraiseurs et autres professionnelles de l'aide à domicile : des prolétaires sans qui tout s'effondrerait, mais que la société méprise, maltraite, sous-paye et exploite.
(p. 38-39)