S’il criait, ne serait-ce qu’une nuit, dans cette ville factice, toute voilée de drapeaux, sans se laisser apaiser, qui donc oserait le traiter de menteur ? Combien sont-ils qui ne répriment plus ce cri qu’à grand-peine ? Ou me trompè-je ? Si je me trompe et qu’il n’y ait beaucoup d’hommes capables de jeter ce cri, je cesse de comprendre les humains, je ne suis plus des leurs, je n’ai plus rien de commun avec eux…