Mais honnêtement, la mort ne me terrifie plus comme elle le faisait. Si je suis dans un bon jour, le mental en paix, je peux dire qu’elle m’attire autant que la vie. Comme mon attaque m’a vraiment rapproché d’elle, j’ai appris à me détacher de ce corps, à demeurer vigilant dans la tranquillité, semblable à un oiseau immobile qui se tient sur une branche sèche prêt à s’envoler.