Hildegarde ne s'en tient d'ailleurs pas aux difficultés mineures ou de vie quotidienne ; le même fenouil auquel elle ne trouve que des vertus positives est cité par elle pour les femmes souffrant au cours de l'accouchement. « Si une femme souffre beaucoup au cours de l'accouchement, faire cuire dans de l'eau, lentement et avec précaution, des herbes parfumées comme le fenouil et l'asaret ; rejeter l'eau et mettre les herbes encore chaudes autour de ses cuisses et sur son dos ; les entourer d'un ligne avec précaution pour que la douleur disparaisse et que son ventre s'ouvre plus facilement et de façon moins douloureuse. »