À les suivre, la fraternité n’est pas un supplément d’âme qui viendrait après l’égalité et la liberté ; elle en est la condition et la conséquence. Elle n’est pas le maillon faible de la devise républicaine, mais son atout maître, l’espoir d’une réconciliation entre l’aspiration à la liberté d’individus uniques et différents et l’horizon politique d’égalité.