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EAN : 9782374251479
96 pages
Rue de l'échiquier (07/03/2019)
3.43/5   7 notes
Résumé :
Comment comprendre la persistance des inégalités en France alors que l’égalité est proclamée centrale au pays des droits de l’H(h)omme ? C’est à cette question que Réjane Sénac répond dans cet essai dérangeant, bousculant et original. Elle remet en cause la conception française de l’égalité, comme un mythe à déconstruire pour tendre vers une égalité sans condition : en deça du sexe, de l’origine sociale et ethno-raciale, de la religion et de l’orientation sexuelle. ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Je commencerai par remercier Babelio et les éditions Rue de l'Echiquier de m'avoir confié cet ouvrage dans le cadre d'une opération masse critique.

Avant de commencer cette critique, je vais citer ma fille aînée : « Je suis une femme, et alors, je suis un homme comme les autres ».

L'ouvrage est court mais si dense. J'ai apprécié que l'autrice (ou auteure, je ne disais si on a déjà définit la féminisation de ce nom) ne se contente pas de nous parlé de l'égalité homme – femme mais aussi, pour étayer son livre, aborde aussi l'inégalité raciale, sociale. L'Egalité, grand principe inscrit en second lieu dans la devise si forte et dis bêle de la république française. Mais quand cette dernière est née, elle est née sous un passé de tradition patriarcale qui a donc relégué les femmes dans un rôle social de « maman », de « reproductrice » et non de pouvoir égalitaire avec les hommes, Qi, sans doute, se vantaient du succès de la révolution. Evidemment, la vie post révolution était fondée sur la monarchie absolue et le droit divin, qui ont toujours considéré la femme comme un être incapable de respecter les règles, notamment en offrant la pomme à Adam le mythe à la vie dure. Même plus tard, dans des révolutions comme la commune de Paris ou mai soixante-huit, au final, la femme n'a jamais été cette liberté guidant le peuple comme le tableau de Delacroix. Même si c'est elle qui porte le drapeau, les barricades sont masculines, la résistance est masculine, le sacrifice est masculin. Que serait donc l'histoire de l'humanité si nous avions fondé un monde matriarcale. J'ai aussi aimé le fait que souvent, pour tenter de rétablir l'égalité, ce sont les groupes majoritaires qui s'en occupe. Pour être certain que si nous atteignons un jour la parité home – femme, finalement, le mérite de la réussite sera tout de même masculin. C'est tellement ridicule que parfois, si ce n'était dramatique, ça en deviendrait comique. Pourquoi, dans un monde où on revendique l'égalité, crée t'on des catégories dominantes et dominées Ente les hommes et les femmes, nous ne devrions même pas parler de minorités, puisque nous représentons chanci-un cinquante pour-cents de l'humanité. Pour tenter de rétablir l'égalité, notre société crée la parité. En Belgique, par exemple, des lois impose qu'il faut un quota de moitié homme et moitié femme pour constituer des listes électorales. Et si, les électeurs n'ont élus que des hommes, on remplacera l'un d'entres eux par une femme pour qu'elle siège au collège échevinal (En Belgique, l'échevin est un adjoint au maire en France), ce qui n'est pas forcément démocratique. Ces loi, au final, ne servent pas l'égalité mais au contraire, creuse le fossé entre les hommes et les femmes car elles les renforcent au titre de personnes faibles. Bref, les combats pour une égalité absolues et sans condition sont loins d'être gagnés et ce livre nous le démontre à force d'arguments bien pesé. Je peux ajouter comme critique de cet ouvrage est qu'il n'emprunte pas les mots les plus simples, ce qui donne parfois l'impression, pour un essais consacré à l'égalité, qu'il ne doit pas être accessible à tous.

Mais le fond de cet ouvrage est absolument justifié mais combien d'année encore nous faudra t'il pour qu'un jour, l'égalité homme – femme ne sera plus une exception mais comme étant naturelle ?
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Ne nous libérez pas, l'égalité va s'en charger

« Ou aucun individu de l'espèce humaine n'a de véritables droits, ou tous ont les mêmes ; et celui qui vote contre le droit d'un autre, quels que soient sa religion, sa couleur ou son sexe, a dès lors abjuré les siens » (Nicolas de Condorcet)

Il me semble important de m'attarder sur le chapitre introductif « Oser s'imaginer semblable ».

Réjane Sénac discute des positions de Nicolas de Condorcet, de l'égalité devant la loi de tout individu « comme la condition et la conséquence de la proclamation d'une humanité commune », de l'asymétrie entre femme et homme et du sexisme qui la fonde, du droit de vote et d'éligibilité contre la violation des droits fondamentaux proclamés, des inégalités de traitement juridique, « Elle révèlent/relèvent le sexisme, le racisme et les exclusions liées aux inégalités économiques comme des contradictions constitutives, et non extérieures, aux droits fondamentaux ».

Je souligne le mot contradiction contre les lectures linéaires comme lissées des événements politiques et des rapports sociaux, cette volonté fantasmatique de rendre homogène ce qui est traversé de rapports de domination, de pas encore et de déjà là.

Egalité devant la loi. Contre la démocratie « exclusive », l'affirmation d'un principe d'égalité abstrait et formel, une affirmation politique et son sens émancipateur mais comme hors du temps et suspendue hors des contextes socio-politiques. L'autrice précise : « Néanmoins, l'égalité ne peut être réduite à l'égalité devant la loi ». Les inégalités économiques et sociales sont bien l'autre face des « incohérences » dans la « mise en oeuvre du principe d'égalité ».

Réjane Sénac revient sur l'opposition à la loi ouvrant le mariage civil aux couples de personnes du même sexe et précise : « Les incohérences dans la mise en oeuvre du principe d'égalité ne sont donc pas seulement le résultat d'un défaut d'application d'un principe consensuel, mais aussi de divergences en ce qui concerne la définition de ce principe et des personnes auxquelles il est légitime de l'appliquer ». Elle parle de « la peur exprimée face au risque d'indifférenciation et de mélange des sexes/des sexualités », de confort dans l'ordre existant, de discrédit de l'égalité « au nom du danger du désordre », de nostalgie d'une « transcendance républicaine ». J'ajoute que le désordre futur évoqué revient à nier que l'ordre réellement existant est bien un désordre inégalitaire. Dit autrement, « l'égalité est perçue comme un danger lorsqu'elle bouscule les classifications héritées, en particulier en termes d'identité sexuée ou raciale et d'orientation sexuelle ». le propos pourrait-être élargi au domaine salarial (l'arbitraire patronal et le droit des actionnaires basés sur la propriété privative, contre les droits de l'ensemble des salarié·es) ou scolaire (les classements et la méritocratie)…

Les caractéristiques prêtées hier et aujourd'hui aux femmes, le spécifique face à la norme masculine/masculiniste considérée comme « universelle » (comme ces couleurs de la peau face à la neutralité référentielle de la peau soi-disant sans couleur, mais bien de couleur blanche/rose/claire), « La persistance de leur association au spécifique exprime et produit une bicatégorisation où le propre des femmes est d'être particulières, ce qui est plus un défaut qu'une qualité pour être reconnu·e comme un·e citoyen·ne à part entière doué·e de la puissance politique de compréhension et d'incarnation du général, de l'abstrait ».

Spécifique, particulier, général, il peut-être utile (débat durant la Révolution française) de relire Zalkind Hourwitz : Apologie des Juifs (1789).
Les idéologues construisent la « sororité », l'esprit « communautariste » ou « clanique » de minorités sociales (pour rappel les femmes ne sont pas une minorité mais la majorité de l'espèce humaine sauf en Inde et en Chine pour cause d'avortements féminicides), dans la négation de leur point de vue situé et de leurs propres communautés. Iels ne se considèrent pas comme membres de communautés mais d'un universel « majoritaire ».

L'autrice détaille, entre autres, les présupposés, les préjugés antiféministes, les doués d'abstraction et celles qui ne le seraient pas, celles qui « empêtrées dans leurs missions naturelles » ne seraient pas capables d'abstraction et de défense de l'intérêt dit général, le communautarisme élevé en rempart contre l'ordre soi-disant républicain, la force d'un imaginaire national excluant, la virilisation de la langue française comme construction historique et celleux qui tournent en ridicule les efforts pour promouvoir un langage moins sexiste ou plus inclusif, la grammaire comme ordre social et politique, les récits mystifiés de l'égalité…

Elle insiste sur la mise en concurrence des inégalités, « cette mise en concurrence des inégalités/inégaux empêche de penser les systèmes de domination dans leur entremêlement », les hiérarchies entre et dans les groupes sociaux, les actions correctrices et les actions transformatrices, l'imagination du semblable et la reconnaissance de la singularité individuelle, « chacun·e soit en capacité de s'imaginer semblable pour être égal·e non pas au-delà, mais en deçà de ses singularités » (en complément possible, Bernard Lahire : Dans les plis singuliers du social ; Individus, institutions, socialisations), la construction des récits par les vainqueurs et les possibles récits alternatifs…

Réjane Sénac souligne que la possibilité de l'égalité exige d'abord d'« être lucide sur les conditions de son impossibilité », l'articulation entre « principes d'égalité, de liberté et de fraternité » (la fraternité nomme bien une frontière dans la « famille des égaux »), la construction des « non-frères », « Leur reconnaissance comme individu est seconde par rapport à l'injonction à être membres d'un groupe singularisant », la supposée « neutralité et invisibilité des dominant·e·s »…

L'autrice présente ensuite son livre. « Je commencerai ainsi par interroger les usages contemporains du terme « fraternité » dans l'articulation du « qui » et du « quoi » du politique.

J'examinerai ensuite comment l'attachement à la liberté peut-être utilisé pour discréditer une égalité renvoyée au registre moral de la censure et/ou du puritanisme. La liberté, limitée à sa version individualiste d'épanouissement personnel, devient alors un outil de dépolitisation à la fois car elle nie les enjeux collectifs et parce qu'elle fait de l'application du principe d'égalité une question morale et non de justice.

J'analyserai enfin comment penser l'égalité en dépassant le mythe d'une égalité à la fois déjà là et à rentabiliser ».

Un petit livre court et dense, sur l'égalité, la fraternité contre l'égalité, la/le semblable et la/le différent·e, la mixité et les espaces non-mixtes, les dépolitisations du sexisme et du racisme, la dimension située du point de vue, l'imbrication des rapports sociaux « de sexe, de « race » et de classe », la liberté contre l'égalité, le déni de la dimension politique des violences sexistes et sexuelles, « Nous serons tou·te·s libres sexuellement quand nous serons tou·te·s des individus sujet de désir et de plaisir à part entière », le moralisme condescendant, les contrôles et le dressage social, les survivances d'une « citoyenneté capacitaire », le mythe de l'égalité contre l'égalité, l'universalisme conçu comme exclusivement masculin (blanc et « bourgeois »), l'incomplétude de l'inclusion, l'antiféminisme des plus « radicaux » de Sylvain Maréchal à Joseph Proudhon, la ruse théorique et politique consistant à « qualifier d'égalitaire » des traitements « complémentaires »…

Dans le dernier chapitre « Vers l'égalité sans condition dans un espace nomade », Réjane Sénac revient, entre autres, sur la valorisation de politiques gestionnaires « érigeant la performance en critère unique de légitimité », le mouvement des gilets jaunes, les contextes et leur « profondeur historique » et leur « épaisseur sociale et politique », les justifications différentialistes, les catégories hiérarchisantes et aliénantes, les clichés et les préjugés, la « formule des multiplicités »…

« Devenir tou·te·s des semblables en humanité est la condition pour que nous puissions épanouir à égalité notre singularité individuelle ».

Et sur le rappel du on ne nait pas femme ou homme mais on la/le devient, « il est temps de nous donner les moyens de devenir des semblables ».
Lien : https://entreleslignesentrel..
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Je remercie les Editions Rue de l'Echiquier pour cette belle collection, à la mise en page agréable et à l'écriture inclusive (c'est tellement plus agréable !), ainsi que Babelio pour cette masse critique.

Ce titre m'intriguait énormément : la revendication de l'Egalité accolée à l'idée d'être "semblables", me semblait intéressante et je voulais savoir comment l'autrice comptait nous en faire la démonstration. En effet, on parle souvent de la "complémentarité" entre les femmes et les hommes, on a peur de "l'assimilation à l'identique" lorsque l'on revendique des parcelles d'égalité.

Tout d'abord, la démonstration de Mme Senac n'est pas limitée à la question de l'égalité entre les femmes et les hommes, mais elle inclut également les personnes racisées. On est donc véritablement dans la définition de ce que recouvre le concept de "l'altérité" (même si entendu comme étant autres celleux qui ne sont pas hommes blancs).

J'ai apprécié que soient balayées plusieurs siècles de réflexion, que l'on rappelle les premiers penseurs masculin du féminisme (je recommande en cela la lecture de Féminismes au masculin de Benoite Groult), et que l'on revienne également sur la notion de "fraternité", que je n'avais jamais réellement considéré dans toutes ses acceptions.
Les références sont profondément ancrées dans l'actualité, l'autrice parle des Gilets jaunes, de #MeToo, de l'Affaire Weinstein, des procès (d'intention ou réel) des artistes. Les bases de la réflexion sont extrêmement intéressantes, rappelant par là que l'on est encore loin de cette égalité, qu'elle est toujours parasitée par les réflexes profondément ancrés de crispation et d'entre soi alimentés par les hommes, qui se reconnaissent entre pairs, faisant que ce concept soit totalement à géométrie variable et intègre des critères spécieux dans son appréciation et son application "aux autres". Réjane Sénac déconstruit totalement le mythe de l'égalité et de l'universalisme supposé des droits acquis, et rappelle l'importance de toujours questionner celle-ci, et surtout de refuser de considérer la France comme étant un pays à l'ancienneté dans l'égalité, eu égard à la Déclaration des droits de l'Homme de 1789... puisque de nombreuses catégories de personnes ont été exclues des bénéfices de ces droits.

Malgré tout, je trouve dommage que la réflexion très riche de Réjane Sénac ait été parfois ardue à suivre, sans doute parce que le format exigeait de la concision. J'ai trouvé que parfois, certaines idées se suivaient, sans que je saisisse la logique et la connexion entre elles. Ce n'est pas un ouvrage que je conseillerai pour découvrir mais plutôt pour approfondir.
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Malgré un thème intéressant et d'actualité, le langage et le lexique - qui ne sont pas à la portée de tous - font de ce petit livre très dense, une analyse presque pédante. Cependant, il est intéressant de lire également cette réflexion, qui ne concerne pas uniquement les femmes, mais aussi les minorités victimes d'inégalités. L'argumentation est très souvent appuyée par des citations, qui peuvent parfois brouiller l'écriture.

Essai complexe et abordé de façon trop académique, même si le sujet n'en reste pas moins intéressant.

Je remercie Babelio et les Editions Rue de l'Echiquier pour ma participation à la masse critique et l'envoi de cet ouvrage.

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Un livre très intéressant pour remettre en question ce que l'histoire nous impose en tant que société. Rejane Senac amène de la pure recherche derrière des faits provenant de l histoire dans son évolution et la question de l'égalité et sur comment cela se limite pour les femmes et personnes issus des groupes sous-répresentés en tant que complémentaires. J'utilise son livre depuis 2019 comme source de débat et ouverture au dialogue avec mes élèves de Master RH pour le cours "Management et démarches d'égalité".
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
À les suivre, la fraternité n’est pas un supplément d’âme qui viendrait après l’égalité et la liberté ; elle en est la condition et la conséquence. Elle n’est pas le maillon faible de la devise républicaine, mais son atout maître, l’espoir d’une réconciliation entre l’aspiration à la liberté d’individus uniques et différents et l’horizon politique d’égalité.
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Je commencerai ainsi par interroger les usages contemporains du terme « fraternité » dans l’articulation du « qui » et du « quoi » du politique.

J’examinerai ensuite comment l’attachement à la liberté peut-être utilisé pour discréditer une égalité renvoyée au registre moral de la censure et/ou du puritanisme. La liberté, limitée à sa version individualiste d’épanouissement personnel, devient alors un outil de dépolitisation à la fois car elle nie les enjeux collectifs et parce qu’elle fait de l’application du principe d’égalité une question morale et non de justice.

J’analyserai enfin comment penser l’égalité en dépassant le mythe d’une égalité à la fois déjà là et à rentabiliser
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La persistance de leur association au spécifique exprime et produit une bicatégorisation où le propre des femmes est d’être particulières, ce qui est plus un défaut qu’une qualité pour être reconnu·e comme un·e citoyen·ne à part entière doué·e de la puissance politique de compréhension et d’incarnation du général, de l’abstrait
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Les incohérences dans la mise en œuvre du principe d’égalité ne sont donc pas seulement le résultat d’un défaut d’application d’un principe consensuel, mais aussi de divergences en ce qui concerne la définition de ce principe et des personnes auxquelles il est légitime de l’appliquer
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Devenir tou·te·s des semblables en humanité est la condition pour que nous puissions épanouir à égalité notre singularité individuelle
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Vidéo de Rejane Senac
« Et maintenant ?». C'est la question que notre société se pose depuis près de deux ans après une pandémie qui a bouleversé la planète. Ce nouveau festival propose de regarder et de débattre ensemble des idées, foisonnantes au demeurant, qui sont aujourd'hui posées à nous tous.
Invités : Réjane Sénac, Directrice de recherche CNRS au CEVIPOF | Jean Birnbaum, Journaliste pour le Monde et essayiste | Julie Martinez, Avocate, rapporteure générale de la Commission France Positive | Chloé Gerbier, Co-présidente de l'association Terres de luttes | Jérémie Peltier, Directeur des Études de la Fondation Jean-Jaurès | Gaspard Koenig, Philosophe et fondateur du mouvement "Simple" | Nathalie Loiseau, Députée européenne | David Djaïz, Essayiste et enseignant à Sciences Po | Annabelle Allouch, Sociologue | Daniel Truong Loï, Professeur agrégé de philosophie
Modération : Quentin Lafay et François Saltiel
Pour plus d'informations, rendez-vous sur notre site : https://www.etmaintenant-lefestival.fr/agenda/battle-des-mots
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