Par la suite, Sachi vint dormir chaque soir dans ma chambre.
Nous étions comme deux chats blessés en train de lécher leurs plaies. Nous n’étions pourtant pas amoureux l’un de l’autre.
Elle parvenait à oublier un peu sa peur et ses souffrances, et moi mon statut de beater. Mais Sachi avait retrouvé le sommeil après que je lui avais assuré qu’elle ne mourrait pas tant qu’elle serait à mes côtés.
Mais le destin de Sachi était malheureusement déjà scellé.