Rémi Lucas

Une image vaut mille mots !



The Rémi Lucas Show est une autobiographie qui se présente sous forme de bande dessinée. Sept années de la vie de Rémi Lucas se dévoilent de page en page aux lecteurs.



Humour, découvertes, et moments de doute la vie de Rémi Lucas nous est présentée agréablement sous forme de bande dessinée.

Le dessinateur ne se cloisonne pas toujours dans les cases de BD, et laisse libre court à son imagination afin d'illustrer ses histoires. Des cartes géographique situe le récit, des articles de journaux apportent un plus à cette bande dessinée.



"Une image vaut mille mots" cette autobiographie est facile et plaisante à lire. Au fil des aventures de Rémi, j'ai eu le sentiment que Rémi Lucas était l'un de mes amis. Ce partage de succession d'histoires, ce doute de savoir si une anecdote est intéressante ou pas à raconter, apportent beaucoup d'humanité à ce livre.



Cette BD est très drôle et réussite.

The Rémi Lucas Show "200 pages de rire garanti à 75% au moins", je dirais même plus!
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Pendant sept années, Rémi Lucas rédige une sorte de journal sous forme de petites bd. L'idée de tenir si scrupuleusement sa bande-dessinée et avec si peu de moyen (un stylo et une imprimante) m'a bien séduit ! (j'y ai souvent pensé, mais je me suis arrêtée à l'idée...). c'est un récit léger parsemer de quelques blagues parfois drôles, parfois drôlement nuls et parfois douteuses. Mais on passe un bon moment si on ne s'étouffe pas à lire tout le livre d'un trait mais qu'on en garde un peu pour plus tard. Bon oui c'est vrai, on se marre bien à les voir lire les perles des copies d'étudiants de sa femme par exemple, ou à écouter ses jeux de mots foireux. Et il faut le dire parfois on s'endort un peu, car le récit ne va pas tellement plus loin que la petite histoire de la journée.



La mise en page m'a parfois perturbée, comme si on avait mis certaines cases dans le désordre. étrange... Graphiquement il y a quelques en-tête assez sympa, mais ça reste un dessin rapide et pas très intéressant. Je ne dirais pas que c'est la bd à avoir dans sa bibliothèque, mais elle a son charme et son humour bien approprié.

De mystérieuses inscriptions apparaissent sur les véhicules des enseignants d’un collège. La police nationale organise de faux attentats dans les lieux publics pour sensibiliser la population à l’intérêt de l’autodéfense et les pousser à s’inscrire dans le club de savate du cousin du major Fretin. La responsable d’une association d’aide aux réfugiés est le sosie de Marine Le Pen. C’en est trop pour Rémi, professeur d’arts plastiques en collège, et ses collègues : les coups de pied dans la gueule et les coups de boule commencent à partir tout seul !

Les imbroglios s’enchaînent sans jamais perdre le lecteur, avec au contraire une belle virtuosité, tandis que s’accumulent les situations cocasses.

On sent que Rémi Lucas, lui même enseignant, a parfois puisé son inspiration dans son quotidien, tant avec les répliques de certains élèves ou de ses enfants, le personnage du proviseur (qui a du se reconnaitre), de certains bénévoles associatifs ou de migrants.

Si la campagne présidentielle, dont un des candidats se fait gifler, est prétexte à une surenchère de gags n’accordant que peu de crédibilité à ce rituel républicain, les brimades policières et administratives à l’encontre du camp de réfugiés sont restituées avec beaucoup de finesse, et les expérimentations sécuritaires, qui traumatisent plus qu’elles ne rassurent, sont parfaitement ridiculisées.



Article à retrouver sur le blog :


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Je ressors mitigé de ce recueil d'histoires courtes. Il n'y a pas réellement de cohérence d'ensemble (cela est sans doute renforcé par le fait que certaines histoires ont fait l'objet de publications préalables dans des revues, et n'ont pas été pensées comme un ensemble à la base). L'auteur se met en scène dans plusieurs situations : tranches de vie, transcription de rêves, histoire à mi-chemin entre réalité et fiction... Ce n'est pas toujours réussi. Les histoires qui font le plus mouche sont celles autour : des échanges entre l'auteur et sa compagne sur leurs lectures, de la mort d'un des frères Jacques, et de ce que l'auteur s'imagine pouvoir faire s'il réussissait à remonter le temps. Malgré le caractère inégal de l'ensemble, il y a un univers pas désagréable qui est présent. Cela titille ma curiosité et je vais donc chercher à lire une autre BD de cet auteur.

Autobiographique ou autofictionnel (comme nous le dit l'éditeur, flbfb) peu importe parque ce que c'est avant tout drôle ! Drôle de la couverture, à la quatrième. Des petites choses qui pourraient nous arriver à tous.

J'ai également trouvé le format souple très appréciable.

Pour une non fan de Bd, je me suis régalée (et j'en souris encore !).

Je n'ai pas compris cette BD, dans laquelle l'auteur semble raconter ses rêves déjantés et décousus. Ce qui ne donne rien, sinon l'impression de lire un truc écrit après avoir pris des substances interdites ! Bref, j'y suis restée hermétique, y compris aux illustrations, du coup, contre lesquelles pourtant je n'avais eu aucun a priori en feuilletant l'opus...

Avec son trait épais et caricatural, à l’apparente simplicité, il vise l’efficacité dans la lecture et le plaisir de la blague avant tout. Belle réussite pour le duo, qui saisit avec humour l’air du temps.
Lien : http://www.bodoi.info/le-cou..

Franchement drôle et très ancré dans notre époque, Le Coup de boule est parti tout seul est bien dans la veine de la plus belle part du catalogue des Éditions Flblb, où la priorité accordée au récit et l’humour font bon ménage, sans que les questions politiques et sociales ne soient négligées.
Lien : https://www.actuabd.com/Le-C..

Un livre dans lequel nombre de cinéphiles se reconnaîtront sans doute.
Lien : http://www.actuabd.com/Vous-..